Artiste: René Jules Lalique
Date: 1897
Musée: Calouste Gulbenkian Museum (Lisboa, Portugal)
Technique: Émail
La nature, sous la forme des espèces les plus variées de faune et de flore, et la figure féminine sont des thèmes récurrents dans l'œuvre de René Lalique, à la fois dans sa première phase en tant que bijoutier, qui dura jusqu'à la fin des années 1900, et plus tard, quand il se consacre entièrement à travailler avec le verre. Dans ce pendentif, un visage féminin aux yeux fermés sculptés en ivoire émerge du centre d'une composition de branches et de feuilles en or émaillé bleu verdâtre. Les branches qui composent la figure sont clouées de diamants et le visage est couronné par un saphir, qui ressort de la bouche béante d'une chimère. Cette belle-horrible dichotomie est une fois de plus associée à la représentation d'une femme, en l'occurrence celle qui aurait été liée à un portrait hypothétique de Sarah Bernhardt. Au centre de la partie inférieure du pendentif, on peut voir deux autres saphirs. La chaîne, typique du travail de Lalique, est composée de petites barres d'or émaillé reliées par des anneaux créés à partir du même métal.
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