Bernard Ii Vanrisamburgh

Bernard Ii Risamburgh;Bernard Ii Vanrisamburgh

Lieu de naissance : Paris

Biographie:

Bernard II van Risamburgh, quelquefois Risen Burgh (travail par c 1730 — avant février 1767) était un ébéniste parisien d'origine néerlandaise et française, l'un des ébénistes remarquables du style Rococo. Son père, Bernard I van Risamburgh (décédé en 1738), né à Groningen, travaille déjà à Paris en 1696, alors qu'il vit au cœur du quartier de l'ameublement, le Faubourg Saint-Antoine, et épouse une Française. Les initiales de Bernard II BVRB sontampées dans les carcasses de ses meubles, comme l'exige le règlement de la guilde de Paris, masquent depuis longtemps son identité réelle, bien que la qualité du travail portant le tampon Burb montre que le fabricant non identifié était à l'avant-garde de son domaine. Son nom complet était un peu long pour s'insérer sur le plat de métal qui a percuté les lettres dans le bois, plutôt que, comme parfois suggéré, un symptôme d'anonymat forcé qui redonnait à l'avantage des marchands-merciers, les décorateurs-déaleurs pour lesquels BVRB travaillait souvent. Il est le Bernard qui est mentionné occasionnellement dans les catalogues de vente parisiens, ce qui le place dans la société rare d'ébénistes dont les noms étaient familiers aux connaisseurs, tels que 'Boulle', 'Cressent', 'Oeben' et 'Riesener', les seuls autres ébénistes jamais mentionnés par nom. Bernard a déjà été reçu comme maître dans le guilde au moment où la séquence des livres survivants commence en 1735, et il travaillait déjà pour les marchands-merciers, car son timbre apparaît sur une commode plaquée avec des panneaux de laque qui a été livré par le marchand-mercier Hébert pour l'utilisation de Marie Lesczinska à Fontainebleau en 1737, et la carte commerciale de Simon-Philippe Poirier, Les meubles qui appartenaient autrefois à Mme de Pompadour portent également son timbre et peuvent même être reconnus dans ses portraits. Le mobilier de Bernard est brillant dans presque tous les respects. Ses carcasses sont magnifiquement en forme, ses montures et sa marqueterie sont toujours en parfait équilibre même si elles sont extrêmement élaborées, et il y a une logique à ses œuvres qui permet à l'œil de les comprendre sans effort. Ses travaux sont caractérisés par l'utilisation de la marqueterie de sentiers de feuilles et de fleurs dans des placages en bout, souvent de bois violet, parfois mis en évidence avec la corne tachetée et l'ivoire dans des panneaux de placages de bois de tulipe. Les panneaux de laque sur de nombreuses pièces de la sortie de Bernard, telles que la commode et deux paires d'armoires d'angle dans la Collection Royale ou la commode tamponnée BVRB au Musée Victoria et Albert, ou la paire non-charactement de boîtes basses dans le goût grec dans la collection Frick, New York aura été fourni à lui par le marchand-mercier qui a commandé de telles pièces, pour les meubles japonais coûteux et écrans. Leur marché aussi était au point d'entrée, Amsterdam, car le commerce avec le Japon était fermement entre les mains du COV néerlandais Opperhoofden. Une finition encore plus luxueuse, employant des plaques de porcelaine de Sèvres, a été inventé par Poirier, apparemment, car il a maintenu un monopole de la production de l'usine de ceux-ci; et Bernard a été le premier ébéniste à les appliquer à des meubles: la première pièce portant des plaques de porcelaine porte des plaques de porcelaine de Vincennes, avant que la manufacturation ait été prise sous le patronage royal officiel. Marques de château royal et numéros d'inventaire peints sur plusieurs de ses travaux survivants, liés aux entrées correspondantes dans la journée

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